Re: Jour après jour... merci
Posté : 23 janvier 2021, 17:48
@Elodie01
Merci pour les noms de livre, je vais regarder.
Hier j’ai été dans une librairie afin de voir s’il y avait des livres sur le deuil périnatal. La libraire voulait m’aider et quand je lui ai dit ce pour quoi j’étais là, j’ai vu qu’elle était mal à l’aise. Elle a réussi à me dire « ah bah heureusement, j’en ai pas souvent des demandes comme ça » aïe. Oui « heureusement ». Mais un immense « malheureusement » pour nous.
J’ai vu qu’il y avait quelques podcasts en ligne aussi, je vais les écouter. Si certains sont bien je pourrais mettre les liens
Je te souhaite plein de courage pour la reprise le 2 février je penserai à toi. Je comprends que ça puisse être dur. J’ai encore un peu de temps devant moi mais mon métier n’avait déjà pas de sens pour moi auparavant, je trouvais qu’il ne me nourrissait pas socialement / humainement, il est désormais aux antipodes. Peut être que mon petit bébé va m’aider à trouver ce que je peux ou dois faire. J’espère avoir l’énergie d’y réfléchir bientôt, avant la reprise.
@Julie4801
Merci pour ton commentaire, qui n’est pas du tout décousu. Je comprends, tu as l’air d’avoir fait du chemin. Je l’admire et j’espère que j’en serais capable. J’imagine que les remarques peuvent piquer mais qu’on finit par se blinder. Je comprends qu’on puisse s’apaiser avec le temps, même si j’ai du mal à y croire. Elle me manquera toujours et j’ai l’impression que je penserais à elle pour tout, avec par conséquent une mélancolie et une nostalgie à tout jamais. « On aurait fait ça » « elle ne pourra pas vivre cela » « est ce qu’elle aurait été comme ça » ... sans fin. Et avec une douleur toujours ancrée, en nous.
Je crois aussi que ça peut renforcer et lier à tout jamais nos histoires avec mon mari, dans la douleur mais cela nous donnera de la force. J’espère. C’est dur de voir souffrir l’autre.
Est ce que tu parles de ton petit garçon souvent à tes proches ?
Un petit coucou à tous nos petits bébés chéris
Merci pour les noms de livre, je vais regarder.
Hier j’ai été dans une librairie afin de voir s’il y avait des livres sur le deuil périnatal. La libraire voulait m’aider et quand je lui ai dit ce pour quoi j’étais là, j’ai vu qu’elle était mal à l’aise. Elle a réussi à me dire « ah bah heureusement, j’en ai pas souvent des demandes comme ça » aïe. Oui « heureusement ». Mais un immense « malheureusement » pour nous.
J’ai vu qu’il y avait quelques podcasts en ligne aussi, je vais les écouter. Si certains sont bien je pourrais mettre les liens
Je te souhaite plein de courage pour la reprise le 2 février je penserai à toi. Je comprends que ça puisse être dur. J’ai encore un peu de temps devant moi mais mon métier n’avait déjà pas de sens pour moi auparavant, je trouvais qu’il ne me nourrissait pas socialement / humainement, il est désormais aux antipodes. Peut être que mon petit bébé va m’aider à trouver ce que je peux ou dois faire. J’espère avoir l’énergie d’y réfléchir bientôt, avant la reprise.
@Julie4801
Merci pour ton commentaire, qui n’est pas du tout décousu. Je comprends, tu as l’air d’avoir fait du chemin. Je l’admire et j’espère que j’en serais capable. J’imagine que les remarques peuvent piquer mais qu’on finit par se blinder. Je comprends qu’on puisse s’apaiser avec le temps, même si j’ai du mal à y croire. Elle me manquera toujours et j’ai l’impression que je penserais à elle pour tout, avec par conséquent une mélancolie et une nostalgie à tout jamais. « On aurait fait ça » « elle ne pourra pas vivre cela » « est ce qu’elle aurait été comme ça » ... sans fin. Et avec une douleur toujours ancrée, en nous.
Je crois aussi que ça peut renforcer et lier à tout jamais nos histoires avec mon mari, dans la douleur mais cela nous donnera de la force. J’espère. C’est dur de voir souffrir l’autre.
Est ce que tu parles de ton petit garçon souvent à tes proches ?
Un petit coucou à tous nos petits bébés chéris