Sarah, tu le dis toi-même tu as vécu plein de petits évènements riches en émotions et en souvenirs douloureux en peu de temps, c'est logique que tu aies un énorme contre-coup émotionnel !! L'aventure du liquide en a rajouté une couche... Plus facile à dire qu'à faire, mais le psy qui me suit dans cette aventure m'a dit d'accepter les périodes de doutes et de déprime, de ne pas forcément vouloir les combattre, qu'elles font partie intégrante de notre deuil. Il faut juste avoir un oeil sur la durée et éviter que ça ne dure trop longtemps, que cela ne devienne pas une dépression. Mais il me dit que quand je suis comme ça, je ne dois pas me forcer à vouloir aller mieux car j'ai le droit d'être mal avec tout ce qui arrive, juste attendre... facile à dire peut-être, mais ça peut aider à déculpabiliser !
Et oui nous sommes 3 alors si je compte bien à être au même stade à peu près, avec Didine et Anne

On pourra en effet se serrer les coudes...
Concernant les symptômes à J-24... c'est très tôt mais on est toutes différentes et surtout on ne réagit pas toutes pareil au skwattage de nos crevettes et à la montée du hCG. J'ai su 6 jours après la nidation qu'il s'implantait (aïe aïe) et les douleurs aux seins + fatigue sont arrivés 3 jours après, donc bien avant la date attendue des règles... c'est la 4ème grossesse, j'imagine que mon corps se souvient mieux de "ce que ça fait" ? Je ne l'avais pas senti si tôt pour les deux ainées (juste malaise nausée à la date prévue des règles) mais c'était aussi assez tôt pour Léo. Donc ce n'est pas impossible, mais c'est dur de distinguer ce qui est lié au cycle normal ou à la grossesse...