Ianis, mon fils
Posté : 15 octobre 2020, 22:14
Parce que cela fait 4 semaines que tu es parti. A jamais mon fils et à jamais absent.
Parfois je n'arrive pas à pleurer alors que je sens ce poids en moi, lourd qui compresse mon coeur, qui me serre la gorge, qui tape et résonne dans ma tête...
Et là je me rends compte tout simplement que tu me manques à en crever!
Si ton grand frère n'était pas là je ne sais pas si je tiendrais.
Tu me manques tellement mon bébé. Si petit quand je t'ai vu, tu tenais dans ma main. Même si tu n'as pas pousser de 1er cri ni eu de 1er souffle, je t'ai tellement aimé et t'aime tellement encore et pour toujours.
Tu es à jamais mon fils, mon Ianis, mon Iaia comme je t'aurais appelé si... si... si... avec des si tu serais encore dans mon ventre aujourd'hui, je te sentirais encore bougé et je serais dans l'impatience de ton arrivée. Mais tout cela serait réel si et seulement si tout ça n'était pas arrivé.
Alors j'essaie d'avancer, le coeur lourd, la gorge serrée et la tête qui résonne. Mais cette douleur et ce manque me font quand même dire que je n'ai pas rêvé, tu as bien existé et tu existeras toujours dans mon cœur.
Je pourrais continuer à écrire sans jamais m'arrêter car j'ai tellement de choses à te dire mon fils.
Je t'aime, tu me manques, je t'aime...
Ta maman
Parfois je n'arrive pas à pleurer alors que je sens ce poids en moi, lourd qui compresse mon coeur, qui me serre la gorge, qui tape et résonne dans ma tête...
Et là je me rends compte tout simplement que tu me manques à en crever!
Si ton grand frère n'était pas là je ne sais pas si je tiendrais.
Tu me manques tellement mon bébé. Si petit quand je t'ai vu, tu tenais dans ma main. Même si tu n'as pas pousser de 1er cri ni eu de 1er souffle, je t'ai tellement aimé et t'aime tellement encore et pour toujours.
Tu es à jamais mon fils, mon Ianis, mon Iaia comme je t'aurais appelé si... si... si... avec des si tu serais encore dans mon ventre aujourd'hui, je te sentirais encore bougé et je serais dans l'impatience de ton arrivée. Mais tout cela serait réel si et seulement si tout ça n'était pas arrivé.
Alors j'essaie d'avancer, le coeur lourd, la gorge serrée et la tête qui résonne. Mais cette douleur et ce manque me font quand même dire que je n'ai pas rêvé, tu as bien existé et tu existeras toujours dans mon cœur.
Je pourrais continuer à écrire sans jamais m'arrêter car j'ai tellement de choses à te dire mon fils.
Je t'aime, tu me manques, je t'aime...
Ta maman