Nouveau
Posté : 09 septembre 2020, 12:05
Bonjour,
Je suis nouveau sur le site, nous avons perdu notre petite fille Andréa, 18h après sa naissance en 2018, avec pour conclusions qu'on ne sait pas trop pk...
Une petite fille tellement belle et avec tellement d'échanges en si peu de temps qui ont rendus les choses tellement plus dure, mais que je ne veux surtout pas oublier.
Il y a 1 mois et demi notre fils Louis est arrivé, en bonne santé, après 9 mois d'angoisse, et malgré un accouchement idéale pour ma femme, le plus gros stresse de ma vie. Pour des Papas qui ont besoin de parler, je peux partager cette expérience si ça peux aider...
Enfin les: "c'est le premier?", les: " avec ce que tu as vécu, tu le mérites" etc etc cessent petit à petit. On à l'impression clairement que le deuxième est censé enlever la peine éprouvé, rassurez vous non, j'ai toujours autant mal, le deuxième enfant n'est pas là pour remplacer le premier, les deux était autant désiré. Ma fille, je l'aime autant que mon fils, même si les moments sont beaucoup plus heureux avec le deuxième du fait qu'il va bien, il y a toujours autant d'amour pour les deux. Ma fille me manque atrocement, on se dit que le père souffre moins que la maman, on ne renvois simplement pas la même chose, on se protège chacun de façon différente, moi je souris pour rassurer, et je me cache pour pleurer.
Je pense que malgré la perte de notre enfant, on reste et on restera leur Papas avec nos qualités et nos défauts...
Je suis nouveau sur le site, nous avons perdu notre petite fille Andréa, 18h après sa naissance en 2018, avec pour conclusions qu'on ne sait pas trop pk...
Une petite fille tellement belle et avec tellement d'échanges en si peu de temps qui ont rendus les choses tellement plus dure, mais que je ne veux surtout pas oublier.
Il y a 1 mois et demi notre fils Louis est arrivé, en bonne santé, après 9 mois d'angoisse, et malgré un accouchement idéale pour ma femme, le plus gros stresse de ma vie. Pour des Papas qui ont besoin de parler, je peux partager cette expérience si ça peux aider...
Enfin les: "c'est le premier?", les: " avec ce que tu as vécu, tu le mérites" etc etc cessent petit à petit. On à l'impression clairement que le deuxième est censé enlever la peine éprouvé, rassurez vous non, j'ai toujours autant mal, le deuxième enfant n'est pas là pour remplacer le premier, les deux était autant désiré. Ma fille, je l'aime autant que mon fils, même si les moments sont beaucoup plus heureux avec le deuxième du fait qu'il va bien, il y a toujours autant d'amour pour les deux. Ma fille me manque atrocement, on se dit que le père souffre moins que la maman, on ne renvois simplement pas la même chose, on se protège chacun de façon différente, moi je souris pour rassurer, et je me cache pour pleurer.
Je pense que malgré la perte de notre enfant, on reste et on restera leur Papas avec nos qualités et nos défauts...