Petit prince tant attendu devenu petit ange à 39 semaines
Posté : 03 mai 2020, 21:20
Bonjour à toutes et tous.
De tous les sujets que j'ai pu lire je comprends que je suis une mamange depuis le 8 février 2020. C'est encore très difficile pour moi, je pleure souvent mon petit ange.
Notre histoire est comme beaucoups d'entre vous. Ma grossesse s'est très très bien passée. Aucune nausée, aucune douleur, petite fatigue mais pas à m'obliger à rester assise ou couché. La seule chose qui commencé de me déranger à la fin de la grossesse c'est les hémorroïdes, je les maudit! J'ai su le 17 juin 2019 que j'étais enceinte et on nous à accordé un logement plus grand que notre studio le 19 juin 2019 tout concordait et ne pouvait pas mieux tomber!
Le debut de ma grossesse a été estimée au 19 mai 2019 et devait donc se terminer plus ou moins le 19 février 2020. Le jour où j'ai appris que j'étais enceinte ce fût magnifique, mon mari m'a dis que récemment que c'était le plus beau jour de sa vie. L'annonce à nos famille a était rapide car nous ne pouvions garder cette merveilleuse nouvelle pour nous. Le premier bébé de nos 2 familles. La joie était immense et indescriptible. Nous avons était en septembre 2019 en voyage de noce à Corfou en Grèce. Mon mari a pris soin de moi comme une princesse. Petit ange ne se montait pas trop encore mais il poussait tranquillement et sans complications. Chaques échographies que j'ai faite et celles avec mon mari je ne voulais entendre qu'une seule chose son petit cœur battre à chaque fois je pleurais tellement j'étais heureuse de l'entendre et de cette grossesse. Lorsque les échos en 3D pouvaient être réalisés ce petit coquin n'a jamais voulu nous faire voir son beau visage. Puis quand j'ai commencé à le sentir bouger j'adorais cette sensation, j'acceptais tous les coups même ceux qui me dérangeais car ce sentiment de fabriquer la vie est indescriptible quand on ne l'a pas vécu. Au mois de janvier j'ai fais la préparation à l'accouchement avec de la balnéothérapie. Ilyas adorait cela car il commencer de bouger et au moment ou je rentrais dans l'eau il s'apaiser. Je lui mettais des petites berceuses ou musiques douce le soir pour commencer de lui faire savoir que quand il entendra cette musique douce cela voudra dire qu'il faudra dormir et que c'est la nuit. J'ai anticipé le maximum de choses que je pouvais. Ma mère devais venir vers la semaine du 19 février pour m'aider au retour à la maison. Je ne portais plus rien de lourd et je ne conduisais que vraiment si c'était nécessaire. Le 21 janvier j'ai eu mon dernier rendez-vous avec la sage-femme de l'hôpital, une nouvelle fois tout va bien j'entends son coeur et elle mesure mon ventre. Début février je commence à sentir qu'une hémorroïde ne va pas tarder à me faire mal. Je décide de faire des cataplasmes d'argile verte mais rien ne change. J'essaie le vinaigre de cidre et cela commence à partir. Puis elle revient et le 8 février je me focalise dessus tellement elle me fais mal (je regrette de ne pas avoir été aux urgences pour cela). Puis le soir venue, vers 22h30 je me rends compte que je n'ai pas senti Ilyas de la journée tellement je me suis focalisé sur cette pu... d'hémorroïde! J'essaie de boire de l'eau froide, du sucré pour le faire réagir, rien pas de réaction.
Nous allons aux urgences. Nous avons attendue 10 minutes qui ont étaient interminables. La sage femme essaie de me mettre le monitoring mais elle ne trouve rien et inconsciemment j'ai compris mais je ne me le suis avoué que plus tard. Puis une interne en radiologie arrive pour me faire une échographie et elle cherche, elle cherche, elle........ cherche........... rien et la première chose que je veux entendre à chaque échographie c'est le coeur de mon bébé et là....... silence. L'interne nous dit " je n'ai pas d'activité cardiaque" nous lui avons répondu "c'est pas vrai, c'est une blague, vous rigolez !" Elle réessaye....... rien, elle confirme pas d'activité. Le ciel me tombe dessus je n'ai même pas de larmes pour pleurer tellement je suis choquée. Je ne le crois pas ce n'est pas vrai, j'ai l'impression d'être dans un cauchemar et je vais me réveiller je me sentais vraiment dans un état second. Le chef de la gynécologie obstétrique à été prévenu et viens confirmer le décès de notre bébé. Je mets beaucoup d'espoir quand il me pose l'échographe sur le ventre je me dis mon petit cœur nous a fait une blague et la on va l'entendre. Et une nouvelle fois je n'entends rien. Il confirme. Nous demandons pourquoi et il répond qu'il pense certainement que c'est le manque de liquide amniotique qui a provoqué cela. Je devais peut-être perdre petit à petit et je ne m'en suis jamais rendu compte. Nous ne comprenons pas pourquoi maintenant alors que la veille il bougeait très très bien! A ce moment là, la seule chose que je veux c'est appeler ma mère. Il est 1h du matin et le réseau passe mal à l'hôpital. Quand je lui annonce elle hurle. Mon frère était avec elle et il a compris tout de suite que quelque chose n'aurait pas . Ils sont à 4h de route mais cela n'a pas effrayé mon frère ils montent tous les 2. Les parents de mon mari eux habitent à 20 minutes de chez nous et ils arrivent de suite. S'en suis des analyses sanguines et on me donne un cachet qui devrait me provoquer des contractions. Je dois le prendre à 8h et il fera effet 24h après. On me dit que je peux rester à l'hôpital mais non je veux retrouver mon chez moi. Nous retrouvons la famille de mon mari sur le parking. On pleure tous je suis dévasté. Nous rentrons à la maison et je ne trouve pas le sommeil j'attends ma mère et mon frère je les veux à mes côtés. Quant il arrivent je fond en larmes je ne peux plus m'arrêter. Je sais qu'ils attendaient autant que nous l'arrivée de ce cadeau. A 8h je prends ce cachet qui ne me fera rien. Je vais à l'hôpital le 10 au matin. On me mets dans un service ou je n'entends pas les bébés et tout le personnel de ce service sait pourquoi je viens. Le médecin vient me voir et me dis à 14h environ il va me poser un ballonnet pour me provoquer les contractions. Il veut éviter au maximum d'endommager mon utérus. Il le pose vers 14h et les contraction commencent à 3h30. Elles sont de plus en plus intenses et à 4h30 je ne peux plus j'appel l'infirmière et je lui dit que là je ne peux plus tenir, la douleur est trop forte mais le ballonnet n'est pas tomber alors qu'il devait. Elle le tire un peu et il vient tout seul. Je suis transféré en salle de naissance où je vais avoir la péridurale. On me la pose à 5h et la sage femme me dis que je suis à 6 cm et que en effet je pouvais avoir mal. J'arrive à dormir peu entre les venues de la sage femme pour m'osculter. A 7h30 je suis à 8 cm. Puis à 8h30 les sages femmes changent et elle viennent donc se présenter et me dire qu'elles reviennent m'osculter vers 9h15/30. Elle revient et lorsqu'elle soulève le draps elle m'annonce que mon bébé est là sur le dos posé tranquillement. Je ne l'ai pas senti venir, il s'est fait discret et ne m'a pas fait souffrir une fois de plus. Elles l'emmène pour le laver un petit peu. A ce moment je ne sais pas si je vais voir mon fils ou pas. Mon mari me dis " il faut que tu le vois tu as accouchée d'un bébé et pas de rien, il faut que tu le vois." Ma mère était également présente et je leurs dis "vous allez le voir et si vous juger que je peux le supporter je le verrais." Ils vont le voir et me dise que je dois le voir. L'auxiliaire me le présente dans un petit couffin en osier avec un drap et un petit oreiller en dentelle blanc. Il est magnifique et ressemble beaucoups à son papa. Il est brun a beaucoup de cheveux mais nous ne voyons pas la couleur de ses yeux. Je touche ses petites mains qui sont parfaitement finies avec ses ongles. Il dort. Nous faisons les seules photos que nous auront de notre premier enfant. Sa petite main sur nos mains. Nous ne n'oublieront pas jamais. Ilyas est né le 11 février 2020 à 9h30. Il pese 3kg140 et mesure 51 cm. Je ne veut pas le quitter pourtant il le faut. Je pleure je pleure je n'arrête pas je ne peux pas. On me ramène dans ma chambre. Puis arrive les suites de couches. Le malheur n'est encore pas finit. Avec tout cela l'organisation des obsèques à été faite par mon beau-frère et le cousin de mon mari. Quelle difficulté et surtout quelle manque d'humanité de certains personnels de mairie! Les obsèques ont eu lieu le 14 février et mon petit amoureux est parti. Tous les jours je pense à lui il y a des jours ou je pleurs d'autres non c'est fluctuant et avec la situation c'est tres difficile. Je n'arrive pas à surmonter cela et je devrais reprendre le travail le 8 mai. Je vais voir mon médecin le 6 car je ne peux reprendre je n'en ai pas.la force ni l'envie pour l'instant. En plus je travail dans un centre maternel, crèche et relais parental donc je côtoie des bébés à longueur de journée et ce n'est pas le moment du tout.
Je suis désolé j'ai vraiment beaucoups écrit. Il fallait que je me libère même si je parle beaucoups avec mon mari et ma mère ceux qui étaient présent pour tout l'accouchement.
Je souhaite un grand courage à toutes les mamanges et la papanges, la perte d'un enfant ne devrait pas exister. On nous dit le temps fait son œuvre mais c'est dur. Je pleure encore souvent et surtout je regrette de l'être focalisé sur moi au lieu de mon petit prince ce 8 février. Je m'en veux, je suis responsable et si je ne m'étais pas centré sur moi Ilyas serai avec nous.
Merci de m'avoir lu.
De tous les sujets que j'ai pu lire je comprends que je suis une mamange depuis le 8 février 2020. C'est encore très difficile pour moi, je pleure souvent mon petit ange.
Notre histoire est comme beaucoups d'entre vous. Ma grossesse s'est très très bien passée. Aucune nausée, aucune douleur, petite fatigue mais pas à m'obliger à rester assise ou couché. La seule chose qui commencé de me déranger à la fin de la grossesse c'est les hémorroïdes, je les maudit! J'ai su le 17 juin 2019 que j'étais enceinte et on nous à accordé un logement plus grand que notre studio le 19 juin 2019 tout concordait et ne pouvait pas mieux tomber!
Le debut de ma grossesse a été estimée au 19 mai 2019 et devait donc se terminer plus ou moins le 19 février 2020. Le jour où j'ai appris que j'étais enceinte ce fût magnifique, mon mari m'a dis que récemment que c'était le plus beau jour de sa vie. L'annonce à nos famille a était rapide car nous ne pouvions garder cette merveilleuse nouvelle pour nous. Le premier bébé de nos 2 familles. La joie était immense et indescriptible. Nous avons était en septembre 2019 en voyage de noce à Corfou en Grèce. Mon mari a pris soin de moi comme une princesse. Petit ange ne se montait pas trop encore mais il poussait tranquillement et sans complications. Chaques échographies que j'ai faite et celles avec mon mari je ne voulais entendre qu'une seule chose son petit cœur battre à chaque fois je pleurais tellement j'étais heureuse de l'entendre et de cette grossesse. Lorsque les échos en 3D pouvaient être réalisés ce petit coquin n'a jamais voulu nous faire voir son beau visage. Puis quand j'ai commencé à le sentir bouger j'adorais cette sensation, j'acceptais tous les coups même ceux qui me dérangeais car ce sentiment de fabriquer la vie est indescriptible quand on ne l'a pas vécu. Au mois de janvier j'ai fais la préparation à l'accouchement avec de la balnéothérapie. Ilyas adorait cela car il commencer de bouger et au moment ou je rentrais dans l'eau il s'apaiser. Je lui mettais des petites berceuses ou musiques douce le soir pour commencer de lui faire savoir que quand il entendra cette musique douce cela voudra dire qu'il faudra dormir et que c'est la nuit. J'ai anticipé le maximum de choses que je pouvais. Ma mère devais venir vers la semaine du 19 février pour m'aider au retour à la maison. Je ne portais plus rien de lourd et je ne conduisais que vraiment si c'était nécessaire. Le 21 janvier j'ai eu mon dernier rendez-vous avec la sage-femme de l'hôpital, une nouvelle fois tout va bien j'entends son coeur et elle mesure mon ventre. Début février je commence à sentir qu'une hémorroïde ne va pas tarder à me faire mal. Je décide de faire des cataplasmes d'argile verte mais rien ne change. J'essaie le vinaigre de cidre et cela commence à partir. Puis elle revient et le 8 février je me focalise dessus tellement elle me fais mal (je regrette de ne pas avoir été aux urgences pour cela). Puis le soir venue, vers 22h30 je me rends compte que je n'ai pas senti Ilyas de la journée tellement je me suis focalisé sur cette pu... d'hémorroïde! J'essaie de boire de l'eau froide, du sucré pour le faire réagir, rien pas de réaction.
Nous allons aux urgences. Nous avons attendue 10 minutes qui ont étaient interminables. La sage femme essaie de me mettre le monitoring mais elle ne trouve rien et inconsciemment j'ai compris mais je ne me le suis avoué que plus tard. Puis une interne en radiologie arrive pour me faire une échographie et elle cherche, elle cherche, elle........ cherche........... rien et la première chose que je veux entendre à chaque échographie c'est le coeur de mon bébé et là....... silence. L'interne nous dit " je n'ai pas d'activité cardiaque" nous lui avons répondu "c'est pas vrai, c'est une blague, vous rigolez !" Elle réessaye....... rien, elle confirme pas d'activité. Le ciel me tombe dessus je n'ai même pas de larmes pour pleurer tellement je suis choquée. Je ne le crois pas ce n'est pas vrai, j'ai l'impression d'être dans un cauchemar et je vais me réveiller je me sentais vraiment dans un état second. Le chef de la gynécologie obstétrique à été prévenu et viens confirmer le décès de notre bébé. Je mets beaucoup d'espoir quand il me pose l'échographe sur le ventre je me dis mon petit cœur nous a fait une blague et la on va l'entendre. Et une nouvelle fois je n'entends rien. Il confirme. Nous demandons pourquoi et il répond qu'il pense certainement que c'est le manque de liquide amniotique qui a provoqué cela. Je devais peut-être perdre petit à petit et je ne m'en suis jamais rendu compte. Nous ne comprenons pas pourquoi maintenant alors que la veille il bougeait très très bien! A ce moment là, la seule chose que je veux c'est appeler ma mère. Il est 1h du matin et le réseau passe mal à l'hôpital. Quand je lui annonce elle hurle. Mon frère était avec elle et il a compris tout de suite que quelque chose n'aurait pas . Ils sont à 4h de route mais cela n'a pas effrayé mon frère ils montent tous les 2. Les parents de mon mari eux habitent à 20 minutes de chez nous et ils arrivent de suite. S'en suis des analyses sanguines et on me donne un cachet qui devrait me provoquer des contractions. Je dois le prendre à 8h et il fera effet 24h après. On me dit que je peux rester à l'hôpital mais non je veux retrouver mon chez moi. Nous retrouvons la famille de mon mari sur le parking. On pleure tous je suis dévasté. Nous rentrons à la maison et je ne trouve pas le sommeil j'attends ma mère et mon frère je les veux à mes côtés. Quant il arrivent je fond en larmes je ne peux plus m'arrêter. Je sais qu'ils attendaient autant que nous l'arrivée de ce cadeau. A 8h je prends ce cachet qui ne me fera rien. Je vais à l'hôpital le 10 au matin. On me mets dans un service ou je n'entends pas les bébés et tout le personnel de ce service sait pourquoi je viens. Le médecin vient me voir et me dis à 14h environ il va me poser un ballonnet pour me provoquer les contractions. Il veut éviter au maximum d'endommager mon utérus. Il le pose vers 14h et les contraction commencent à 3h30. Elles sont de plus en plus intenses et à 4h30 je ne peux plus j'appel l'infirmière et je lui dit que là je ne peux plus tenir, la douleur est trop forte mais le ballonnet n'est pas tomber alors qu'il devait. Elle le tire un peu et il vient tout seul. Je suis transféré en salle de naissance où je vais avoir la péridurale. On me la pose à 5h et la sage femme me dis que je suis à 6 cm et que en effet je pouvais avoir mal. J'arrive à dormir peu entre les venues de la sage femme pour m'osculter. A 7h30 je suis à 8 cm. Puis à 8h30 les sages femmes changent et elle viennent donc se présenter et me dire qu'elles reviennent m'osculter vers 9h15/30. Elle revient et lorsqu'elle soulève le draps elle m'annonce que mon bébé est là sur le dos posé tranquillement. Je ne l'ai pas senti venir, il s'est fait discret et ne m'a pas fait souffrir une fois de plus. Elles l'emmène pour le laver un petit peu. A ce moment je ne sais pas si je vais voir mon fils ou pas. Mon mari me dis " il faut que tu le vois tu as accouchée d'un bébé et pas de rien, il faut que tu le vois." Ma mère était également présente et je leurs dis "vous allez le voir et si vous juger que je peux le supporter je le verrais." Ils vont le voir et me dise que je dois le voir. L'auxiliaire me le présente dans un petit couffin en osier avec un drap et un petit oreiller en dentelle blanc. Il est magnifique et ressemble beaucoups à son papa. Il est brun a beaucoup de cheveux mais nous ne voyons pas la couleur de ses yeux. Je touche ses petites mains qui sont parfaitement finies avec ses ongles. Il dort. Nous faisons les seules photos que nous auront de notre premier enfant. Sa petite main sur nos mains. Nous ne n'oublieront pas jamais. Ilyas est né le 11 février 2020 à 9h30. Il pese 3kg140 et mesure 51 cm. Je ne veut pas le quitter pourtant il le faut. Je pleure je pleure je n'arrête pas je ne peux pas. On me ramène dans ma chambre. Puis arrive les suites de couches. Le malheur n'est encore pas finit. Avec tout cela l'organisation des obsèques à été faite par mon beau-frère et le cousin de mon mari. Quelle difficulté et surtout quelle manque d'humanité de certains personnels de mairie! Les obsèques ont eu lieu le 14 février et mon petit amoureux est parti. Tous les jours je pense à lui il y a des jours ou je pleurs d'autres non c'est fluctuant et avec la situation c'est tres difficile. Je n'arrive pas à surmonter cela et je devrais reprendre le travail le 8 mai. Je vais voir mon médecin le 6 car je ne peux reprendre je n'en ai pas.la force ni l'envie pour l'instant. En plus je travail dans un centre maternel, crèche et relais parental donc je côtoie des bébés à longueur de journée et ce n'est pas le moment du tout.
Je suis désolé j'ai vraiment beaucoups écrit. Il fallait que je me libère même si je parle beaucoups avec mon mari et ma mère ceux qui étaient présent pour tout l'accouchement.
Je souhaite un grand courage à toutes les mamanges et la papanges, la perte d'un enfant ne devrait pas exister. On nous dit le temps fait son œuvre mais c'est dur. Je pleure encore souvent et surtout je regrette de l'être focalisé sur moi au lieu de mon petit prince ce 8 février. Je m'en veux, je suis responsable et si je ne m'étais pas centré sur moi Ilyas serai avec nous.
Merci de m'avoir lu.