besoin d'en parler
Posté : 20 juin 2019, 14:10
Bonjour,
Je ressent le besoin de vous raconter mon histoire, peut être comme une thérapie, merci pour celle qui prendrons le temps de me lire.
Je suis un peu perdu avec tous ce que nous venons de vivre.
Je suis tombé enceinte de mon 1er bébé en février 2019. je l'ai découvert le 26 exactement.
Nous avons fait l’échographie de datation le 15 mars, son petit cœur bat déjà c'est impressionnant, 19 avril échographie des 2 mois et demi, bébé va bien elle a grandit, cependant avec la gynécologue cela ne se passe pas très bien elle s'obstine sur la clarté nucale (elle me fait mal, utilise la sonde vaginale comme un sexe-toy pour faire bouger bébé, elle appuie extrêmement fort sur mon ventre pour la faire bouger aussi car elle ne vois pas ce qu'elle cherche, enfin cette examen ne se passe pas bien du tout) et ne fait pas les contrôle classique (je m'en suis rendu compte en changeant de gynéco : prise de tension, vérification du fémur, de la tille de la tête etc..).
Le 20 mai je rencontre mon nouveau gynéco (qui est un homme) qui est très avenant et à l’écoute, j'avais énormément de question auquel l'ancienne gynéco ne répondait pas. C'est une simple visite de contrôle et pourtant je comprends que quelque chose ne va pas. Le gynéco me demande de revenir le lendemain à son cabinet personnel (la j'était à l’hôpital ou il est de garde).
Le 21 mai j'y retourne sans mon Mari (car il était en déplacement), mais avec deux copines pour ne pas être seule pendant cet examen.
Il me confirme que malheureusement mon bébé, ma petite fille qui as un cœur qui bat 2 jambe 2 bras, tous ses doigt n'as tous simplement pas de cerveau... à ce moment là je ne pense qu'a mon mari et à comment je vais pouvoir lui annoncer que notre petite fille n'aura pas de vie...
Ensuite tous se passe très vite, mon Mari n'y crois pas... nous avons rendez vous le 24 mai au CHU pour une échographie complète qui va déterminé le problème exacte après 1 heures avec la gynécologue elle nous annonce que sa colonne ne s'est pas fermée et cela a entraîné une malformation des deux jambes et le problème au cerveau, elle nous propose plusieurs choix : le 1er garder le bébé en sachant que celle ci n'aurais pas une longue vie avec un peu de chance quelques années, ou la programmation d'une IMG.
Nous avons choisi l'IMG, mon gynécologue m'as donc rappelé le lundi suivant pour me dire que je devais venir le mercredi et le jeudi prendre des médicament pour faire comprendre à mon cerveau que j'allais accoucher. car l'intervention était programmer le 31 mai.
Le 31 mai j'arrive donc à l’hôpital pour accoucher, comme les médicaments pris les deux jours précédent n'ont pas eu d'effet sur moi ils me mettent deux médicaments intra-vaginal toute les 4 heures jusqu’à ce que mon col s'ouvre et que le travail commence. sauf que ce médicament je n'ai le droit de le prendre que 3 fois et que si mon col ne s'ouvre pas je devrais rester la nuit et recommencer le lendemain.
La première prise se fait à 9h, ensuite on me fait une amniosynthese pour vérifier que le problème ne viens pas de moi ou de mon mari. j'ai des contraction au alentour de 11h30 ils me posent donc une péridurale pour ne pas avoir mal. la sage femme reviens me voir pour contrôler si mon col s’ouvre mais rien pour le moment, la sage femme m'explique que ca peut prendre du temps. A 13h elle reviens pour la deuxième prise, puis à 18h de nouveau une autre prise du médicament (elle vérifie mon col une fois de plus, mais celui n'as pas bouger - j'ai le sentiments que ma petite fille me fait comprendre qu'elle n'as pas l'intention de partir, qu'elle bien au chaud avec moi).
A 20h changement d'équipe. 21h00 j'appelle les sage femmes qui ne sont pas venu me voir car j'ai faim, je n'ai rien mangé depuis le matin, elles m'expliques qu'elles sont débordé et elle s'excuse de ne pas être passé pour me voir même 2 min - honnêtement je ne leurs en veux pas dans me tête les mamans qui sont en train d'accoucher autour de moi et qui ont des bébés en bonne santé mérite plus d'attention que moi).
Elle me retire la péridurale car n'ayant aucune douleurs, la sage femme estime que le bébé n'arrivera pas ce soir. mon mari et moi sommes un peu déçu nous pensions que cela serait plus rapide (afin de pouvoir avancer). Mon mari décide de rentrer à la maison pour manger aussi et sortir notre chienne (mes amies qui s'en été occupées la journée ne pouvaient pas rester le soir), on reste au téléphone tout le temps ou il est absent, je lui demande de faire vite car je n'aime pas rester seule dans cette salle d'accouchement.
Vers 22h il est de retour avec moi, on s'allonge tous les deux dans le lit car je ne veux pas qu'il dorme mal sur le fauteuil de la chambre, je n'ai pas réussi a manger mon plateau quand il me l'ont apporter et j'ai mon ventre qui me fait comprendre qu'il faut manger, vers 22h30 je me décide a manger quand d'un coup sans prévenir, je sent que mon col viens de s'ouvrir , je ressent le bébé qui sors, la je panique j'appuie sur la sonnette , mon mari me prend la tête dans les mains pour que je me concentre sur lui uniquement, mais je lis dans son regard qu'il ressent mon angoisse, je ne pense plus à ce moment la je veux juste que tout s'arrête. Mon corps ne me répond plus je tremble de partout, je ne contrôle rien, la péridurale fait encore effet je ne ressent aucune douleurs mais je ressent tout le reste, je sent mon bébé sortir je sent le liquide amniotique couler, je sent le cordon ombilicale contre mon vagin. c'est très perturbant tout se passe vite et en même temps j'ai l'impression que le temps s'est arrêter, dans ma tête mon bébé sors mais ne pleure pas - c'est pas normal - mais en fait si mes contractions l'ont tuée, je me sent coupable tout tourne, je veux que ça s'arrête...
Et là l'anesthésiste arrive, me dit que tous va bien et me fait une piqûre, il me dit de pensais à autre chose, mon mari me parle de notre voyage de noce, des petits singes que nous avons vu et je repense au cocktail, a la piscine, je me détends mon mari trouve même le moyens de me faire sourire (c'est bien pour ça que je l'aime autant,il est vraiment fort pour me rassurer), le gynéco me demande de pousser une dernière fois, je ne sais pas faire je ne suis qu'a 4 mois de grossesse, mais apparemment j'y arrive sans savoir vraiment comment et ensuite on me préparer pour une aspiration, mon placenta ne se décolle pas, tout se passe bien je vais en salle d'opération, ils mettent de la musique, comme je tremblais encore beaucoup l'anesthésiste me redonne une dose de son produit qui me détends beaucoup au point que je me met a chanter les musiques, ensuite ils m’emmène en salle de réveil mon mari m'y retrouve et il se met à pleurer, il réalise enfin que c'est sure nous n'avons plus de bébé.
Au alentour des 3 heures du matin on me ramène en salle d'accouchement et on me propose de voir mon bébé, je dis oui (au départ je ne voulais pas la voir), mon Mari lui ne souhaite pas la voir, on lui demande de sortir de la salle. La sage femme arrive avec ma petite fille enveloppé dans un petit châle en laine, elle est toute petite, elle est toute rouge (manque d’oxygène), mais elle est belle, je reconnais mon propre visage dans le sien elle à mon nez c'est ce qui m'as le plus frappé quand je l'ai vu, elle semblait si fragile, la sage-femme me montre ses jambes (qui sont vraiment pas "belle" a voir, elle ne sont pas dans leurs axes enfin le problème que l'on 'expliquer je le comprenait mieux). la sage-femme me laisse seule avec ma fille, elle me dit que je l'appel quand j'en ressent l'envie que e peux rester avec elle le temps qu'il faudra. j'observe ma fille je scrute le moindre détail de son visage comme pour en faire une photo, je prends ses petits doigt je n'ose pas trop la bouger, j'ai peur de la casser (sentiment stupide vu que de toute façon elle ne vis pas...). je la sert contre moi parce que c'est ce que les mamans font le peau à peau si important à la naissance.
Je ne sais pas combien de temps je reste la à pleurer et à la serrer dans mes bras, je m'excuse de ne pas avoir réussi à la garder, je lui demande pardon comme ci elle pouvait me dire "ça va aller", je la regarde une dernière fois avant d'appuyer sur la sonnette. La sage femme revient et la prends avec elle. Mon mari rentre dans la chambre et on attends environ 30 min avant d'être emmener dans la chambre.
Le samedi 1er juin on repart de l’hôpital vers 18h (notre choix, on pouvait rester si on le souhaiter), je rentre chez moi je retrouve une vie "normal" mais je n'oublie pas. On a souhaité ne pas donner de prénom pour ne pas s'accrocher mais au fond de moi c'est Charlotte (mon Mari n'aimait pas trop comme prénom, donc je l'ai pris pour elle).ça va faire 3 semaines ce vendredi et par moment je m'en veux de l'oublier un peu, de réussir a reprendre ma vie comme ci de rien, et il y a des soirs ou je pleure. Tous le monde nous dis vous êtes jeunes, vous en aurait un autre. c'est agaçant je n'en veux pas un autre je la veux elle.
J'ai peur de retomber enceinte, et en même temps je veux retomber enceinte, je veux ce petit bébé qui sera tellement aimé qu'il/elle en aura marre de nous.
Enfin voila désolé pour le PAVÉ, mais j'avais besoin d'en parler. Merci encore pour ceux/celle qui auront le courage de tout lire.
Bise Ouana
Je ressent le besoin de vous raconter mon histoire, peut être comme une thérapie, merci pour celle qui prendrons le temps de me lire.
Je suis un peu perdu avec tous ce que nous venons de vivre.
Je suis tombé enceinte de mon 1er bébé en février 2019. je l'ai découvert le 26 exactement.
Nous avons fait l’échographie de datation le 15 mars, son petit cœur bat déjà c'est impressionnant, 19 avril échographie des 2 mois et demi, bébé va bien elle a grandit, cependant avec la gynécologue cela ne se passe pas très bien elle s'obstine sur la clarté nucale (elle me fait mal, utilise la sonde vaginale comme un sexe-toy pour faire bouger bébé, elle appuie extrêmement fort sur mon ventre pour la faire bouger aussi car elle ne vois pas ce qu'elle cherche, enfin cette examen ne se passe pas bien du tout) et ne fait pas les contrôle classique (je m'en suis rendu compte en changeant de gynéco : prise de tension, vérification du fémur, de la tille de la tête etc..).
Le 20 mai je rencontre mon nouveau gynéco (qui est un homme) qui est très avenant et à l’écoute, j'avais énormément de question auquel l'ancienne gynéco ne répondait pas. C'est une simple visite de contrôle et pourtant je comprends que quelque chose ne va pas. Le gynéco me demande de revenir le lendemain à son cabinet personnel (la j'était à l’hôpital ou il est de garde).
Le 21 mai j'y retourne sans mon Mari (car il était en déplacement), mais avec deux copines pour ne pas être seule pendant cet examen.
Il me confirme que malheureusement mon bébé, ma petite fille qui as un cœur qui bat 2 jambe 2 bras, tous ses doigt n'as tous simplement pas de cerveau... à ce moment là je ne pense qu'a mon mari et à comment je vais pouvoir lui annoncer que notre petite fille n'aura pas de vie...
Ensuite tous se passe très vite, mon Mari n'y crois pas... nous avons rendez vous le 24 mai au CHU pour une échographie complète qui va déterminé le problème exacte après 1 heures avec la gynécologue elle nous annonce que sa colonne ne s'est pas fermée et cela a entraîné une malformation des deux jambes et le problème au cerveau, elle nous propose plusieurs choix : le 1er garder le bébé en sachant que celle ci n'aurais pas une longue vie avec un peu de chance quelques années, ou la programmation d'une IMG.
Nous avons choisi l'IMG, mon gynécologue m'as donc rappelé le lundi suivant pour me dire que je devais venir le mercredi et le jeudi prendre des médicament pour faire comprendre à mon cerveau que j'allais accoucher. car l'intervention était programmer le 31 mai.
Le 31 mai j'arrive donc à l’hôpital pour accoucher, comme les médicaments pris les deux jours précédent n'ont pas eu d'effet sur moi ils me mettent deux médicaments intra-vaginal toute les 4 heures jusqu’à ce que mon col s'ouvre et que le travail commence. sauf que ce médicament je n'ai le droit de le prendre que 3 fois et que si mon col ne s'ouvre pas je devrais rester la nuit et recommencer le lendemain.
La première prise se fait à 9h, ensuite on me fait une amniosynthese pour vérifier que le problème ne viens pas de moi ou de mon mari. j'ai des contraction au alentour de 11h30 ils me posent donc une péridurale pour ne pas avoir mal. la sage femme reviens me voir pour contrôler si mon col s’ouvre mais rien pour le moment, la sage femme m'explique que ca peut prendre du temps. A 13h elle reviens pour la deuxième prise, puis à 18h de nouveau une autre prise du médicament (elle vérifie mon col une fois de plus, mais celui n'as pas bouger - j'ai le sentiments que ma petite fille me fait comprendre qu'elle n'as pas l'intention de partir, qu'elle bien au chaud avec moi).
A 20h changement d'équipe. 21h00 j'appelle les sage femmes qui ne sont pas venu me voir car j'ai faim, je n'ai rien mangé depuis le matin, elles m'expliques qu'elles sont débordé et elle s'excuse de ne pas être passé pour me voir même 2 min - honnêtement je ne leurs en veux pas dans me tête les mamans qui sont en train d'accoucher autour de moi et qui ont des bébés en bonne santé mérite plus d'attention que moi).
Elle me retire la péridurale car n'ayant aucune douleurs, la sage femme estime que le bébé n'arrivera pas ce soir. mon mari et moi sommes un peu déçu nous pensions que cela serait plus rapide (afin de pouvoir avancer). Mon mari décide de rentrer à la maison pour manger aussi et sortir notre chienne (mes amies qui s'en été occupées la journée ne pouvaient pas rester le soir), on reste au téléphone tout le temps ou il est absent, je lui demande de faire vite car je n'aime pas rester seule dans cette salle d'accouchement.
Vers 22h il est de retour avec moi, on s'allonge tous les deux dans le lit car je ne veux pas qu'il dorme mal sur le fauteuil de la chambre, je n'ai pas réussi a manger mon plateau quand il me l'ont apporter et j'ai mon ventre qui me fait comprendre qu'il faut manger, vers 22h30 je me décide a manger quand d'un coup sans prévenir, je sent que mon col viens de s'ouvrir , je ressent le bébé qui sors, la je panique j'appuie sur la sonnette , mon mari me prend la tête dans les mains pour que je me concentre sur lui uniquement, mais je lis dans son regard qu'il ressent mon angoisse, je ne pense plus à ce moment la je veux juste que tout s'arrête. Mon corps ne me répond plus je tremble de partout, je ne contrôle rien, la péridurale fait encore effet je ne ressent aucune douleurs mais je ressent tout le reste, je sent mon bébé sortir je sent le liquide amniotique couler, je sent le cordon ombilicale contre mon vagin. c'est très perturbant tout se passe vite et en même temps j'ai l'impression que le temps s'est arrêter, dans ma tête mon bébé sors mais ne pleure pas - c'est pas normal - mais en fait si mes contractions l'ont tuée, je me sent coupable tout tourne, je veux que ça s'arrête...
Et là l'anesthésiste arrive, me dit que tous va bien et me fait une piqûre, il me dit de pensais à autre chose, mon mari me parle de notre voyage de noce, des petits singes que nous avons vu et je repense au cocktail, a la piscine, je me détends mon mari trouve même le moyens de me faire sourire (c'est bien pour ça que je l'aime autant,il est vraiment fort pour me rassurer), le gynéco me demande de pousser une dernière fois, je ne sais pas faire je ne suis qu'a 4 mois de grossesse, mais apparemment j'y arrive sans savoir vraiment comment et ensuite on me préparer pour une aspiration, mon placenta ne se décolle pas, tout se passe bien je vais en salle d'opération, ils mettent de la musique, comme je tremblais encore beaucoup l'anesthésiste me redonne une dose de son produit qui me détends beaucoup au point que je me met a chanter les musiques, ensuite ils m’emmène en salle de réveil mon mari m'y retrouve et il se met à pleurer, il réalise enfin que c'est sure nous n'avons plus de bébé.
Au alentour des 3 heures du matin on me ramène en salle d'accouchement et on me propose de voir mon bébé, je dis oui (au départ je ne voulais pas la voir), mon Mari lui ne souhaite pas la voir, on lui demande de sortir de la salle. La sage femme arrive avec ma petite fille enveloppé dans un petit châle en laine, elle est toute petite, elle est toute rouge (manque d’oxygène), mais elle est belle, je reconnais mon propre visage dans le sien elle à mon nez c'est ce qui m'as le plus frappé quand je l'ai vu, elle semblait si fragile, la sage-femme me montre ses jambes (qui sont vraiment pas "belle" a voir, elle ne sont pas dans leurs axes enfin le problème que l'on 'expliquer je le comprenait mieux). la sage-femme me laisse seule avec ma fille, elle me dit que je l'appel quand j'en ressent l'envie que e peux rester avec elle le temps qu'il faudra. j'observe ma fille je scrute le moindre détail de son visage comme pour en faire une photo, je prends ses petits doigt je n'ose pas trop la bouger, j'ai peur de la casser (sentiment stupide vu que de toute façon elle ne vis pas...). je la sert contre moi parce que c'est ce que les mamans font le peau à peau si important à la naissance.
Je ne sais pas combien de temps je reste la à pleurer et à la serrer dans mes bras, je m'excuse de ne pas avoir réussi à la garder, je lui demande pardon comme ci elle pouvait me dire "ça va aller", je la regarde une dernière fois avant d'appuyer sur la sonnette. La sage femme revient et la prends avec elle. Mon mari rentre dans la chambre et on attends environ 30 min avant d'être emmener dans la chambre.
Le samedi 1er juin on repart de l’hôpital vers 18h (notre choix, on pouvait rester si on le souhaiter), je rentre chez moi je retrouve une vie "normal" mais je n'oublie pas. On a souhaité ne pas donner de prénom pour ne pas s'accrocher mais au fond de moi c'est Charlotte (mon Mari n'aimait pas trop comme prénom, donc je l'ai pris pour elle).ça va faire 3 semaines ce vendredi et par moment je m'en veux de l'oublier un peu, de réussir a reprendre ma vie comme ci de rien, et il y a des soirs ou je pleure. Tous le monde nous dis vous êtes jeunes, vous en aurait un autre. c'est agaçant je n'en veux pas un autre je la veux elle.
J'ai peur de retomber enceinte, et en même temps je veux retomber enceinte, je veux ce petit bébé qui sera tellement aimé qu'il/elle en aura marre de nous.
Enfin voila désolé pour le PAVÉ, mais j'avais besoin d'en parler. Merci encore pour ceux/celle qui auront le courage de tout lire.
Bise Ouana