A mon petit Hugo
Posté : 23 janvier 2016, 14:40
Bonjour,
J'ai une petite fille de 2 ans et demi.
Début 2015 nous décidons de faire notre 2 ème bébé. Nous voulions que 2 enfants car chaque grossesse pour moi sera de plus en plus compliquée avec des contractions très tôt et je suis donc allitée très tôt pour éviter d'avoir un bébé trop prématuré.
Mi mars je tombe donc enceinte de mon deuxième enfant.
Lors de l'écho morphologique du 5eme mois, on nous apprend que notre bébé à un kyste archnoïdien au cerveau très important, c'est que nous apprenons aussi que nous aurions un petit garçon.
La joie d'avoir un garçon mélangée à la haine de la maladie....
Un neuropediatre nous explique qu'il faudra attendre le 8 ème mois pour savoir s'il y a des risques pour le bébé ou non et qu'il ne faut pas perdre espoir.
J'ai vécu ces 2 mois à espérer plus que tout, à mettre toute mes forces dans l'espoir de sa guérison. Mon mari et moi avions tout expliqué à notre fille.
2 mois difficile et long à avoir peur, à espérer, des examens tous les 15 jours.
A la dernière IRM le neurochirurgien est pessimiste sur le devenir de notre petit garçon : handicap physique et mental lourd, crise d'épilepsie à répétition, opération de dérivation du liquide avec hospitalisations à répétirion, risque d'infection et de méningite aussi.
Il nous a donc parlé de l'IMG. Décision que nous avons finit par prendre car pour nous c'était la seule solution pour lui éviter des tas de souffrance et lui sauver la vie.
Le 26 octobre 2015 j'accouche mon petit bébé né sans vie à 34 SA.
Quand on la pris dans nos bras et qu'on la vu si beau si ressemblant à notre fille nous étions tellement malheureux de la cruauté de la vie.
Je remercie ma fille qui a très bien compris les chosesoirs elle est tellement formidable à nos yeux.
Cela est difficile à vivre, je le demande même de temps en temps si j'aurais le courage de faire un troisième enfant.
L'autopsie n'à rien révélé d'héréditaire ou de génétique. Nous attendons un dernier résultat pour fin janvier.
La généticiene nous a expliqué que c'était de la faute à pas de chance, une erreur de la nature lors du développement de notre bébé.
Même si on sait que nous ne sommes pas mis en cause cela reste difficile à accepter.
Voilà mon histoire, un premier pas pour essayer d'aller de l'avant.
J'ai une petite fille de 2 ans et demi.
Début 2015 nous décidons de faire notre 2 ème bébé. Nous voulions que 2 enfants car chaque grossesse pour moi sera de plus en plus compliquée avec des contractions très tôt et je suis donc allitée très tôt pour éviter d'avoir un bébé trop prématuré.
Mi mars je tombe donc enceinte de mon deuxième enfant.
Lors de l'écho morphologique du 5eme mois, on nous apprend que notre bébé à un kyste archnoïdien au cerveau très important, c'est que nous apprenons aussi que nous aurions un petit garçon.
La joie d'avoir un garçon mélangée à la haine de la maladie....
Un neuropediatre nous explique qu'il faudra attendre le 8 ème mois pour savoir s'il y a des risques pour le bébé ou non et qu'il ne faut pas perdre espoir.
J'ai vécu ces 2 mois à espérer plus que tout, à mettre toute mes forces dans l'espoir de sa guérison. Mon mari et moi avions tout expliqué à notre fille.
2 mois difficile et long à avoir peur, à espérer, des examens tous les 15 jours.
A la dernière IRM le neurochirurgien est pessimiste sur le devenir de notre petit garçon : handicap physique et mental lourd, crise d'épilepsie à répétition, opération de dérivation du liquide avec hospitalisations à répétirion, risque d'infection et de méningite aussi.
Il nous a donc parlé de l'IMG. Décision que nous avons finit par prendre car pour nous c'était la seule solution pour lui éviter des tas de souffrance et lui sauver la vie.
Le 26 octobre 2015 j'accouche mon petit bébé né sans vie à 34 SA.
Quand on la pris dans nos bras et qu'on la vu si beau si ressemblant à notre fille nous étions tellement malheureux de la cruauté de la vie.
Je remercie ma fille qui a très bien compris les chosesoirs elle est tellement formidable à nos yeux.
Cela est difficile à vivre, je le demande même de temps en temps si j'aurais le courage de faire un troisième enfant.
L'autopsie n'à rien révélé d'héréditaire ou de génétique. Nous attendons un dernier résultat pour fin janvier.
La généticiene nous a expliqué que c'était de la faute à pas de chance, une erreur de la nature lors du développement de notre bébé.
Même si on sait que nous ne sommes pas mis en cause cela reste difficile à accepter.
Voilà mon histoire, un premier pas pour essayer d'aller de l'avant.