Mon petit ange parti trop tôt
Posté : 20 août 2018, 23:14
Bonjour,
Je m'apelle Aurore j'ais 25 ans, aprés plusieurs semaines d'hésitation je partage mon histoire avec vous. Desolé d'avance pour le roman écrire m'aide à faire face à mes souffrance.
L’histoire débute un matin de décembre, je sentais un changement sur mon corps. Le doute s’installa, je désidéres de faire un test de grossesse. Le stress monta, le test était positif, après plusieurs mois d’essai cette nouvelle était inattendu. Un deuxième test me confirma cette nouvelle grossesse, qui guérissait ma fausse couche précédente encore difficile à oublier. Mon cœur se remplir de joie et de bonheur. Petit à petit la peur de revivre une fausse couche s’installa en moi, je ne voulais pas m’attaché à ce petit bébé qui grandissais avant d’être convaincu qu’il était bien présent. La première échographie fus un soulagement, il était bien là, toutes les analyses me confirmèrent que tout aller bien, que mon bébé se développé parfaitement.
Les semaines passèrent et mon corps prenais forme pour accueillir au mieux ce petit ange, mon ventre d’arrondissais de jour en jour. L’excitation était présente jour après jour, j’étais impatiente d’accueillir ce petit trésor. Je commençais à me vêtir comme une femme enceinte, qu’elle bonheur de se sentir bien dans son corps avec ce petit bébé qui grandi en soit.
J’étais pressé de savoir le sexe de mon enfant, et enfin la réponse, c’est un petit garçon. J’étais en même temps heureuse et angoissé, c’était nouveau, j’avais l’habitude de m’occuper de ma fille mais un garçon c’est différent. Je commencée à acheter des vêtements, je craquer sur tous les petits vêtements.
Une nouvelle étape commença, lui préparer sa chambre, qu’elle bonheur d’imaginé l’avenir avec ce petit garçon. Tout prenais forme, le lit était monté, la table à langé, les draps, les vêtements, j’étais déjà prête à l’accueillir.
Fin avril le moment de l’échographie morphologique, j’étais impatiente une fois de plus de voir mon petit ange, il avait bien grandi en quelques mois. Seulement l’échographie ne se déroula pas comme je l’avais imaginé. Après avoir observé plusieurs minutes mon bébé, la sage-femme, m’a dit on va discuter. A ce moment j’ai su que tout aller basculer. Le verdict tomba, mon bébé avait plusieurs malformation apparente qui laissé entendre une suite affreuse. La sage-femme nous donna rendez-vous au service de diagnostic anténatal.
Comment annoncer cette nouvelle à la famille et surtout à ma fille, qui rêvait elle aussi à tous les moments qu’elle partagera avec son petit frère. La descente aux enfers commença. Des pleurs, de l’incompréhension et un sentiment d’injustice s’installa en moi, une tristesse infernale et inconsolable débuta.
Après un long et dur weekend rempli de tristesse, le rendez-vous avec le service de diagnostic anténatal arriva. Le professeur nous confirma le diagnostic de la sage-femme, mon bébé avait de grave problème qui ne lui permettraient pas de vivre. Il effectua un amniosynthése pour déterminais d’où provenait le problème. Une intervention horrible mentalement et physiquement. Il nous expliqua que nous allons devoir arrêter la grossesse après cinq mois de partage et de joie tout devais se stoppé. Seulement il fallait attendre les résultats d’analyse.
Un mois à attendre les résultats qui n’arrivait pas, comment se dire que ce petit ange en moi ne vivra pas, impossible pour moi de ne pas continuer à s’attaché à mon bébé, je ne voulais pas le laisser partir. Mon corps continuait à ce développé tout comme mon petit garçon qui bougeait de plus en plus, comment imaginé un instant abandonné tous nos projets.
Les résultats arrivèrent, nous avons rencontré une généticienne pour nous expliquer les résultats. Une translocation déséquilibré voilà ce qui fera que mon bébé ne pourra pas vivre. Suite à ces résultats nous devions choisir une date pour mon accouchement, le 31 mai 2018 une date gravé à jamais.
Je ne voulais pas me séparé de mon petit Matéo, le laissé partir dans un monde où il sera mieux me paraissé irréalisable mais il le fallait pour son bien.
Le jour de l’accouchement arriva, tout d’abord il fallait arrêter son petit cœur, une souffrance incomparable m’envahi, après plusieurs tentative son cœur cessa de battre, je senti un vide immense en moi, des larmes coulaient sans cesse. Puis maintenant il fallait qu’l naisse, après plusieurs heures, mon petit Matéo était auprès de nous, le sentir dans mes bras fus un moment aussi beau que douloureux, nous faisions la rencontre de notre fils que nous n’aurions plus jamais dans nos bras et auprès de nous.
Une question subsiste encore à ce jour, comment lui dire adieu. Je n’y arrive pas tous les soirs je lui parle dans mes pensé avant de m’endormir, je ne veux pas l’oublier. J’ai peur qu’il soit seul, je voudrais un signe me permettant d’être sûr qu’il va bien et qu’il à trouver un monde où il est heureux. Comment faire le deuil de ce petit ange parti trop tôt ?
A ce jour c’est encore très difficile pour moi d’avancer et de retrouver goût à la vie, chaque jour je me renferme sur moi-même dans ma tristesse. L’insomnie ne me quitte plus, chaque soirs je n’arrive pas à dormir, il occupe constamment mes pensé et la tristesse m’envahi. Je fais croire à tout le monde que ça va mieux mais ce n’est pas le cas, je n’y arrive pas je suis trop faible face à cette souffrance qui me ronge jour après jour.
Je m'apelle Aurore j'ais 25 ans, aprés plusieurs semaines d'hésitation je partage mon histoire avec vous. Desolé d'avance pour le roman écrire m'aide à faire face à mes souffrance.
L’histoire débute un matin de décembre, je sentais un changement sur mon corps. Le doute s’installa, je désidéres de faire un test de grossesse. Le stress monta, le test était positif, après plusieurs mois d’essai cette nouvelle était inattendu. Un deuxième test me confirma cette nouvelle grossesse, qui guérissait ma fausse couche précédente encore difficile à oublier. Mon cœur se remplir de joie et de bonheur. Petit à petit la peur de revivre une fausse couche s’installa en moi, je ne voulais pas m’attaché à ce petit bébé qui grandissais avant d’être convaincu qu’il était bien présent. La première échographie fus un soulagement, il était bien là, toutes les analyses me confirmèrent que tout aller bien, que mon bébé se développé parfaitement.
Les semaines passèrent et mon corps prenais forme pour accueillir au mieux ce petit ange, mon ventre d’arrondissais de jour en jour. L’excitation était présente jour après jour, j’étais impatiente d’accueillir ce petit trésor. Je commençais à me vêtir comme une femme enceinte, qu’elle bonheur de se sentir bien dans son corps avec ce petit bébé qui grandi en soit.
J’étais pressé de savoir le sexe de mon enfant, et enfin la réponse, c’est un petit garçon. J’étais en même temps heureuse et angoissé, c’était nouveau, j’avais l’habitude de m’occuper de ma fille mais un garçon c’est différent. Je commencée à acheter des vêtements, je craquer sur tous les petits vêtements.
Une nouvelle étape commença, lui préparer sa chambre, qu’elle bonheur d’imaginé l’avenir avec ce petit garçon. Tout prenais forme, le lit était monté, la table à langé, les draps, les vêtements, j’étais déjà prête à l’accueillir.
Fin avril le moment de l’échographie morphologique, j’étais impatiente une fois de plus de voir mon petit ange, il avait bien grandi en quelques mois. Seulement l’échographie ne se déroula pas comme je l’avais imaginé. Après avoir observé plusieurs minutes mon bébé, la sage-femme, m’a dit on va discuter. A ce moment j’ai su que tout aller basculer. Le verdict tomba, mon bébé avait plusieurs malformation apparente qui laissé entendre une suite affreuse. La sage-femme nous donna rendez-vous au service de diagnostic anténatal.
Comment annoncer cette nouvelle à la famille et surtout à ma fille, qui rêvait elle aussi à tous les moments qu’elle partagera avec son petit frère. La descente aux enfers commença. Des pleurs, de l’incompréhension et un sentiment d’injustice s’installa en moi, une tristesse infernale et inconsolable débuta.
Après un long et dur weekend rempli de tristesse, le rendez-vous avec le service de diagnostic anténatal arriva. Le professeur nous confirma le diagnostic de la sage-femme, mon bébé avait de grave problème qui ne lui permettraient pas de vivre. Il effectua un amniosynthése pour déterminais d’où provenait le problème. Une intervention horrible mentalement et physiquement. Il nous expliqua que nous allons devoir arrêter la grossesse après cinq mois de partage et de joie tout devais se stoppé. Seulement il fallait attendre les résultats d’analyse.
Un mois à attendre les résultats qui n’arrivait pas, comment se dire que ce petit ange en moi ne vivra pas, impossible pour moi de ne pas continuer à s’attaché à mon bébé, je ne voulais pas le laisser partir. Mon corps continuait à ce développé tout comme mon petit garçon qui bougeait de plus en plus, comment imaginé un instant abandonné tous nos projets.
Les résultats arrivèrent, nous avons rencontré une généticienne pour nous expliquer les résultats. Une translocation déséquilibré voilà ce qui fera que mon bébé ne pourra pas vivre. Suite à ces résultats nous devions choisir une date pour mon accouchement, le 31 mai 2018 une date gravé à jamais.
Je ne voulais pas me séparé de mon petit Matéo, le laissé partir dans un monde où il sera mieux me paraissé irréalisable mais il le fallait pour son bien.
Le jour de l’accouchement arriva, tout d’abord il fallait arrêter son petit cœur, une souffrance incomparable m’envahi, après plusieurs tentative son cœur cessa de battre, je senti un vide immense en moi, des larmes coulaient sans cesse. Puis maintenant il fallait qu’l naisse, après plusieurs heures, mon petit Matéo était auprès de nous, le sentir dans mes bras fus un moment aussi beau que douloureux, nous faisions la rencontre de notre fils que nous n’aurions plus jamais dans nos bras et auprès de nous.
Une question subsiste encore à ce jour, comment lui dire adieu. Je n’y arrive pas tous les soirs je lui parle dans mes pensé avant de m’endormir, je ne veux pas l’oublier. J’ai peur qu’il soit seul, je voudrais un signe me permettant d’être sûr qu’il va bien et qu’il à trouver un monde où il est heureux. Comment faire le deuil de ce petit ange parti trop tôt ?
A ce jour c’est encore très difficile pour moi d’avancer et de retrouver goût à la vie, chaque jour je me renferme sur moi-même dans ma tristesse. L’insomnie ne me quitte plus, chaque soirs je n’arrive pas à dormir, il occupe constamment mes pensé et la tristesse m’envahi. Je fais croire à tout le monde que ça va mieux mais ce n’est pas le cas, je n’y arrive pas je suis trop faible face à cette souffrance qui me ronge jour après jour.