Re: Emma, MFIU à 19 SA
Posté : 18 mars 2019, 09:36
Mon petit bébé d'amour,
Emma,
Aujourd'hui, cela fait un mois.
Un mois que tu es entrée dans nos vies, sans bruit. Pour repartir aussitôt sur la pointe des pieds. Je pense souvent à ce jour où tu es née. Je me rappelle tout l'amour présent dans cette pièce. Notre amour pour toi.
Pas un jour passe sans que je ne pense à toi, la douleur de ton absence est toujours aussi présente.
Tu as fais de nous des parents, bien particuliers, mais des parents.
La semaine dernière, j'ai vu ton cousin Augustin, vous auriez du grandir ensemble.
J'avais besoin de le voir, pour me rappeler qu'il y a des bébés en parfaite santé. Mais le voir sourire, l'entendre rire, m'a fait du mal aussi. Ces petites choses qui peuvent paraître insignifiantes, mais que je ne connaîtrai pas avec toi.
Et puis, le voir tranquille, me fixer avec ses grands yeux, j'avais l'impression qu'il me disait "Ne t'inquiète pas tata, Emma va bien, elle est heureuse la ou elle est."
Avec papa, nous parlons souvent de toi, notre petite fille si parfaite, et déjà tellement chipie. Nous arrivons à penser à toi avec le sourire, lors des échos où tu cachais ton visage derrière tes mains.
Nous parlons même de tes futurs frères et sœurs. J'ai toujours voulu une grande famille. Je ne l'imaginais pas avec toi dans les étoiles. Mais n'aie pas peur, jamais nous ne t'oublierons. Tes frères et sœurs connaîtront leur grande sœur, nous leur parlerons de toi. Tu fais partie de nous à jamais.
Comme le dit papa, tu es avec nous tous les jours. Dans nos pensées et nos cœurs.
Je t'aime Emma. Tu me manques tellement mon petit bébé d'amour.
Emma,
Aujourd'hui, cela fait un mois.
Un mois que tu es entrée dans nos vies, sans bruit. Pour repartir aussitôt sur la pointe des pieds. Je pense souvent à ce jour où tu es née. Je me rappelle tout l'amour présent dans cette pièce. Notre amour pour toi.
Pas un jour passe sans que je ne pense à toi, la douleur de ton absence est toujours aussi présente.
Tu as fais de nous des parents, bien particuliers, mais des parents.
La semaine dernière, j'ai vu ton cousin Augustin, vous auriez du grandir ensemble.
J'avais besoin de le voir, pour me rappeler qu'il y a des bébés en parfaite santé. Mais le voir sourire, l'entendre rire, m'a fait du mal aussi. Ces petites choses qui peuvent paraître insignifiantes, mais que je ne connaîtrai pas avec toi.
Et puis, le voir tranquille, me fixer avec ses grands yeux, j'avais l'impression qu'il me disait "Ne t'inquiète pas tata, Emma va bien, elle est heureuse la ou elle est."
Avec papa, nous parlons souvent de toi, notre petite fille si parfaite, et déjà tellement chipie. Nous arrivons à penser à toi avec le sourire, lors des échos où tu cachais ton visage derrière tes mains.
Nous parlons même de tes futurs frères et sœurs. J'ai toujours voulu une grande famille. Je ne l'imaginais pas avec toi dans les étoiles. Mais n'aie pas peur, jamais nous ne t'oublierons. Tes frères et sœurs connaîtront leur grande sœur, nous leur parlerons de toi. Tu fais partie de nous à jamais.
Comme le dit papa, tu es avec nous tous les jours. Dans nos pensées et nos cœurs.
Je t'aime Emma. Tu me manques tellement mon petit bébé d'amour.