Mon parcours vers l'img

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Nenor
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Mon parcours vers l'img

Message par Nenor »

Bonjour à tous,

Je viens de découvrir ce forum et après plusieurs hésitations j'ai besoin de partager mon histoire.

"Quand on a un stérilet, on ne pense pas qu'on puisse être enceinte, les pourcentages sont si faible. Pourtant ça m'est arrivée. Si je souhaite témoigner aujourd'hui c'est que je n'ai trouvé aucun témoignage similaire et que je pense qu'il est important, car je ne dois pas être la seule (enfin je l'espère).

Le 23 mars j'apprends que je suis enceinte, commence le stress les questions. Comment ça se fait, que faire? Déjà on vérifie que ce n'est pas une GEU (extra utérine). Ouf tout va bien. Mais le stérilet dans tout ça? Est ce risqué? Que faut il faire? Le laisser, l'enlever? Au final je n'aurai pas le choix, ce dernier est inaccessible puisqu'il est remonté bien au fond de mon utérus.

La on respire, on stress un peu car c'est le premier trimestre et que une fausse couche ça arrive souvent. Mais on se fait à l'idée.

Le 11 avril, je vois que je perd un peu de sang. Retour du stress. Direction urgence. RAS, bébé va bien.

Quelques semaines plus tard, rebelote, je perd du sang et quelque caillot. Je vois mon médecin traitant en expliquant que j'ai peur de faire une fausse couche. Prise de sang et écho en urgence. Encore une fois, bébé va bien. Seul probleme, un léger décollement trophoblastique (nom du placenta quand il est en formation). C'est donc du repos qui s'annonce, ça tombe bien, ce premier trimestre s'épuise et je ne fais que de dormir.

Arrivé le 18 mai, avec mon conjoint nous allons à l'écho du premier trimestre. Un peu de stress mais je n'ai plus de perte de sang. Résultat, bébé pète la forme, il est se déplace pile comme il faut pour prendre les mesures, il s'étire, il boit, il tourne sa petite tête comme si il regardait vers nous. En bref un grand moment de bonheur même si il ne veut pas montrer son sexe.

Là, enfin, on commence à se projeter. C'est notre premier. Les grands parents sont prévenus qu'ils vont être arrière grand parents (une première pour ma mamie maternel), mon père est en larme au téléphone, ma belle-mère (qui était déjà au courant comme ma mère) s'investit et veut déjà acheter des body. Bref tout le monde est heureux et accueil la nouvelle avec joie.

Pendant presque deux semaines je suis sur un petit nuage, la fatigue a disparu, je suis moins à cran et surtout, je m'autorise à faire mon premier achat, un jolie cosy qui devrait bientôt arriver.

Le 25 mai, j'ai de nouveau des pertes, elles sont liquides et transparents donc ça ne m'inquiète pas. Les pertes c'est un peu compris avec la grossesse.

Dans la nuit du 27 au 28 mai je me réveil vers 4h pour faire pipi puis je me recouche. A 4h30 je sens que ça coule (ou que ça sort, c'est difficile à expliquer). Je retourne aux toilettes pour m'essuyer et changer de culotte périodique et la, c'est la douche froide. Je perd du sang comme jamais je n'en ai perdu. Il y en a partout. Liquide, solide, visqueux. Je pleure, j'ai peur. Je suis persuadé de faire une fausse couche. Que faire? Je me dirige vers mon conjoint en pleurs, je n'arrive qu'à prononcer le mot toilette. A la vu des toilettes il comprend. Pendant ce temps je me lave, les saignements s'arrêtent. Je n'ai pas envie d'aller aux urgences de nuit.

Mon conjoint part donc travailler à contre coeur. Moi je me retrouve aux urgences gyneco vers 12h. Une fois là bas, je suis vite prise en charge, ça ne m'inquiète pas, je suis déjà résignée. Je ne regarde pas l'écran de l'écho et ce fut une surprise d'entendre son coeur. Je souffle, il va bien. Je tourne la tete, l'interne à l'air sceptique.

On parle souvent de l'instinct maternel, je ne sais pas si c'est cet instinct qui a parlé mais j'ai su. Je leur ai demandé d'être cache. A demi mot elle m'explique qu'elle voit très peu de liquide amniotique et qu'elle veut l'avis du gynécologue de garde. On recommence l'écho, même regard. Cette fois la nouvelle tombe.

Bébé n'a plus de liquide amniotique pour se développer. Le mardi d'avant j'avais tout simplement perdu les eaux. La je panique, que va t'il se passer, est ce que ça peut s'arranger et surtout, pourquoi?

On m'annonce donc que je risque de faire une fausse couche tardive dans ce cas je dois venir aux urgences en ambulance. Dans le cas contraire un rendez vous est prit pour le 3 juin. Lors de ce rendez vous il y aura trois possibilité. Soit le coeur de bébé est arrêté, dans ce cas on me déclenche et j'accouche directement grâce à une img (interruption médical de grossesse ou avortement thérapeutique), soit le coeur bat encore et il faudra passer en commission devant le comité éthique pour accepter l'img (ce qui veut dire encore de l'attente), soit le liquide s'est refait et je pourrai continuer ma grossesse.

Cette dernière option me laisse un peu d'espoir mais les médecins m'expliquent que c'est très peu probable à ce stade (un peu plus de 14 SA). On va quand même tenter de boire beaucoup d'eau et de se reposer au max.

Et la vient la réponse au pourquoi, ils ne savent pas, ils vont attendre les résultat d'analyse du frottis mais il est fort probable que ce soit dû au stérilet. La gynécologue de garde m'apprend au passage qu'il est fortement recommandé d'enlever le stérilet. En effet, une étude vient de sortir expliquant qu'une grossesse avec stérilet augmente le risque de fausse couche tardive. Je tombe de haut, on m'avait parlé du risque de fausse couche en début de grossesse mais pas ça...

Je perd de nouveau du sang dans le week end mais en moins grosse quantité. N'ayant aucune douleur je ne m'inquiète pas et reste à la maison. Le 1er juin j'ai mal au ventre, est ce que c'est des contraction? Je ne sais pas, je n'ai pas non plus énormément mal mais je sens quelque chose dans mon vagin. C'est mon stérilet qui vient d'être expulsé. J'appelle les urgences, comme je ne perd pas de sang ils me disent de rester chez moi.

Arrive le 3 juin. Avec mon conjoint nous voila parti pour cette nouvelle écho. Je ne sais pas pourquoi mais je suis sûr que je vais avoir le droit au pire, je n'arrive pas à être optimiste. Je vais à l'écho toute seule, mon compagnon est parti garer la voiture . Le gynécologue me demande ce que j'ai retenu, heureusement j'ai très bien assimilé tout ce qu'on m'a dit aux urgences. Je dois être assez clair dans mes explication car ce dernier me demande dans quel milieu je travail, et non je ne suis pas du metier.

Commence l'écho. Je n'ose pas regarder, je n'ose pas espérer. Le verdict tombe, le coeur bat encore, l'espoir arrive mais il n'y a plus du tout de liquide. C'est le pire scénario pour moi. La curiosité l'emporte et je regarde ce petit être qui grandissait en moi. Il ne se développe plus, il ne bouge plus, peut être qu'il souffre et pourtant son coeur bat. Il est bien là, il se bat replier sur lui même.

Je sort totalement dépité mon conjoint me rejoint et j'ai du mal à ne pas craquer mais je ne veux pas, pas maintenant. Nous voyons ensemble l'obstetricienne qui nous explique comment va se dérouler la suite des événements. Je n'ai pas vraiment de question. Tous ce que je sais c'est que mon bébé ne vivra pas. Même si on avait le choix, on sait que ça n'ira pas. Pourquoi? Surement à cause du stérilet puisque rien n'a été trouvé lors des analyses.

S'ensuit un rendez vous avec le psy, que dire? J'ai simplement répété ce qu'il vient de nous arriver. A quoi bon de toute façon. Je ne culpabilise pas mais j'ai du mal à comprendre. On pense toujours que ça n'arrive qu'au autres mais pas là. Je sort rejoindre mon conjoint qui n'a pas voulu voir le psy. Je craque, une bière, une clope, tout est fini même si le plus dur reste à venir.

Le 7 juin, je vais devoir accoucher, oui oui, on parle bien d'accouchement. Sauf qu'en rentrant il ne sera pas avec nous. Je vais avoir une péridurale pour ne pas souffrir et je vais pousser, pousser pour sortir ce petit être en "bonne" santé mais qui ne pourra plus se développer. Pousser pour sortir un bébé qui va surement mourir lors de l'accouchement.

Aujourd'hui, j'attend ce jour avec impatience et tristesse. D'un côté tout sera fini, on pourra passer à autre chose, d'un autre tout sera fini, je ne tiendrai jamais dans mes bras, je ne connaîtrai pas les joies de la maternité et pourtant j'ai quand même l'impression d'être une mère.

Être une mère, je n'y pensais pas, tu as débarqué et finalement j'étais prête. C'est maintenant que je sais qu'être une mère c'est s'inquiéter, c'est aimer, c'est indescriptible et ça commence bien avant l'accouchement.

Aujourd'hui, je sais que si ce type de situation m'arrive de nouveau ce sera retrait directe du stérilet (quitte à vivre une fausse couche en début de grossesse) ou alors ce sera une ivg. Trop de risque, trop de stress, trop de peur. Ça peut paraître égoïste mais je pense que ça vaut mieux, physiquement et moralement."

Aujourd'hui c'était hier. Aujourd'hui je craque, je viens de prendre les premiers médoc, ca y est la machine est lancée. Je n'arrête plus de pleurer et je commence à avoir peur de cet accouchement.

Merci à ceux qui ont eu le courage de me lire. J'espère trouver ici des situations similaires.
Perrinek
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Enregistré le : 03 septembre 2019, 10:17

Re: Mon parcours vers l'img

Message par Perrinek »

Bonsoir Nenor,

Je suis désolée de t'accueillir sur ce forum.
Ce que tu vis es difficile et c'est courageux à toi de témoigner avant même que cet épisode douloureux soit achevé.
Je te souhaite beaucoup de courage encore pour les jours à venir et espère que ton IMG sera aussi douce que possible.

C'est effectivement terrible de découvrir la parentalité dans ces circonstances, mais pour la plupart d'entre nous cela devient une force.

Ce sera sans doute difficile à croire pour toi maintenant, mais avec le temps on se reconstruit.

Douces pensées,

Perrine K.
Hélène69
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Enregistré le : 24 mai 2021, 12:11

Re: Mon parcours vers l'img

Message par Hélène69 »

Bonjour Nenor,

Je suis si désolée de ce qu'il t'arrive, vous arrive.
Sache que sur ce forum tu trouveras toujours une oreille bienveillante et compréhensive car nous traversons ou avons traversé la même épreuve.

Je souhaitais t'apporter mon témoignage puisque j'ai vécu cette épreuve récemment. Cette journée sera bien sur chargée d'émotions mais tout tu seras bien accompagnée par l'équipe médicale qui sait combien ce moment est difficile pour nous mamans. Pour ma part on s'est très bien occupé de moi et de mon conjoint avec une douceur sans égale. La douleur est également très bien prise en charge. Tu ne devrais pas avoir mal.

Pour ma part, il me paraissait impensable de ne pas accoucher de mon bébé, de ne pas vivre cet accouchement avec lui et pour lui. J'en garde un très beau souvenir dont je me rappellerai toute ma vie et qui m'est très précieux. La psy m'avait d'ailleurs expliqué qu'il était important d'accoucher pour aider à la reconstruction.

N'hésite pas à partager tes questions et souhaits sur cette journée avec l'équipe médicale, ils sont là pour toi.

Je penserai bien à toi et ton conjoint demain et te souhaite de la douceur et de l'apaisement.

Hélène
Mon Gaspard d’amour ❤️ ⭐️ né le 25/05/2021 à 28SA + 6J
Ma merveille d’amour Alix ❤️🌈 née le 11/07/2022
Nenor
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Enregistré le : 05 juin 2021, 21:25

Re: Mon parcours vers l'img

Message par Nenor »

Merci de vos messages.

Finalement j'ai du aller aux urgences samedi soir et le petit est née à 4h40.

On va dire que ça n'a pas été un long fleuve tranquille et je pense vous raconter mon expérience mais pas pour le moment...

Je suis donc officiellement mamange d'un petit garçon...
Nenor
Messages : 4
Enregistré le : 05 juin 2021, 21:25

Re: Mon parcours vers l'img

Message par Nenor »

Voici la suite de mon témoignage (je viens juste de trouver le courage de l'écrire).

Je tiens à vous remercier, le fait de vous lire me permet de me sentir moins seule et m'aide à avancer petit à petit dans cet horrible deuil.


En ce samedi soir je commence mon traitement pour l'img. Il est 20h la machine est lancé, j'ai horriblement peur. J'ai hâte d'être dimanche que tout sois terminé.

Sauf que, bah oui ce ne serait pas drôle sans un sauf, au bout d'une heure j'ai envie de vomir. Non il ne faut pas, je n'ai pas d'autre médoc et je n'ai pas envie de courir pour en récupérer. Je m'allonge donc en espérant que ça passe.

La nausée passe mais j'ai de nouveau des pertes. Je vais donc à l'endroit que j'ai dû côtoyer plus que d'habitude ces derniers temps, mes toilettes. La encore des grosse perte de sang. Mon premier réflexe, passer sous la douche. Le sang ne s'arrête pas. Je pleure. J'essaye de contacter mon conjoint, impossible, il n'a plus de batterie.

J'appelle les urgences à 22h (la panique m'a fait perdre du temps), j'explique ce qu'il m'arrive, pas de surprise ils veulent que je vienne. J'appelle le samu, j'explique mes symptômes, on me transfère au médecin qui appelle enfin les pompiers.

Il est maintenant 22h45, ça fait une heure et quart que je perds du sang. Les pompiers arrivent enfin. Me voilà reparti dans l'explication de mes symptômes et mon cas, je suis lasse de me répéter. Je recadre gentiment quand on me parle ivg, non ce n'est pas une ivg, ce n'est pas voulu, on a juste pas vraiment le choix. Ils appellent le médecin pour savoir si ils m'amènent aux urgences. Bien évidement la réponse est positive. Direction les urgences.

Lors du trajet je commence à les sentir, c'est donc ça les contractions? Ça fait mal mais c'est encore supportable. Je respire à chaque contraction espérant rester calme. Nous arrivons aux urgences il est 23h30, deux heures que je perd du sang. Mon conjoint m'appelle, je le rassure et lui dit de rester à la maison.

Je suis vite prise en charge, effectivement bébé commence à descendre dans mon utérus. Je demande et j'apprend que son coeur bat toujours. Il est encore en vie à ce moment mais je sais que c'est les derniers instants de sa vie.

Désormais, les médecins comptabilisent tout le sang que je perds, à peine arrivé je perds des caillot entre 60 et 120g. On me passe en salle de naissance. On commence par la péridurale. Tout vas bien jusqu'à l'injection du produit. Ma tension chute fortement et je vomis.

Une fois calmé on me donne le prochain médicament pour déclencher les contractions. Je patiente et la péridurale commence à faire effet, problème, elle s'est latéralisé. Impossible de bouger ma jambe gauche et je ressens plus intensément mes contractions à droite. Je garde la tête haute, pour ne pas céder je fais de l'humour.

Dédramatiser, ça va être mon maître mot. Pendant deux heures ils vont tenter de régler ce soucis sans grand succès. Je vais avoir une deuxieme grosse dose qui de nouveau va me faire vomir.

La je vois que le monde s'agite autour de moi. Je compte, ils sont 8. Pourquoi tant de monde. Quelque chose ne va pas j'en suis persuadée.

"Non, on ne peut pas aller au bloc tant qu'il n'est pas sorti, c'est la procédure"

La sage femme m'explique enfin que je perd beaucoup de sang et que des que le petit sera sorti j'irai au bloc pour une aspiration. Encore une heure et la je ressent de très forte contraction, tant pis j'en ai marre, je pousse même si ça fait mal, je pousse parce que il faut en finir, je pousse parce que mon instinct me dit de le faire.

La sage femme vérifié encore une fois la dilatation de mon col. C'est bon je vais aller au bloc. La je m'effondre. Enfin la péridurale fait effet je ne sens plus rien. On me met un masque a oxygène, c'est la première fois, je m'inquiète, je me sent partir. Je craque, depuis le début j'essaye de tenir mais la je ne peux plus j'ai peur, horriblement peur, je pleure tout ce que je peux. Heureusement le personnel soignant est adorable avec moi. Je suis soutenue.

On commence à me déplacer et je me force à ne pas dormir, il ne faut pas, j'ai peur de ne pas me réveiller.

Une fois au bloc (il est 5h) on me demande de pousser pour expulser le placenta. J'obéis, le reste est tellement flou, je ne sais pas dire si je me suis endormie ou non mais je suis restée plus d'une heure en salle d'op.

On m'amène en salle de réveil, j'ai soif, j'ai mal a la gorge. Une sage femme vient me voir et me propose de voir mon bébé. 2 jours plus tôt je ne voulais pas, là j'ai envie. Je le prend dans mes bras, il est parfait, sa petite main, sa petite tête, je lui parle, ce moment m'apaise. J'apprend que c'est un petit garçon, je ne lui donne pas de nom mais ce sera mon petit loup à tout jamais, je lui en fais la promesse en lui parlant comme pour le rassurer.

Ce fut le plus beau moment de cette horrible nuit, cet adieu à ce petit loup que je n'aurai connu que dans mon ventre.

Plus tard, j'apprendrai que j'ai perdu 1litre 4 de sang à l'hôpital ce qui est énorme (je n'ose même pas savoir combien j'ai pu perdre avant d'y arriver). Je comprend que je suis passée à côté du pire. Au final je n'aurai eu qu'une semaine de calme lors de cette grossesse.

Maintenant c'est beaucoup de repos et surtout se reconstruire après un tel choc. Nous sommes donc les parange d'un petit garçon. Adieu petit Loup.
Juli1
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Re: Mon parcours vers l'img

Message par Juli1 »

Merci d'avoir partagé ton histoire avec nous.
J'espère que le forum pourra continuer à t'apporter du soutien pour la suite.

Le papa a-t-il souhaité rencontrer votre petit garçon ?

J'ai une pensée pour votre petit loup.
Julien, Équipe de modération de Petite Emilie
Papa d'un garçon né sans vie au printemps 2019 (34SA) & d'un bébé DPI né mi-janvier 2022
"Cela aussi passera" Légende Perse - Recueil de liens
Elogojab
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Re: Mon parcours vers l'img

Message par Elogojab »

Douces pensées à votre petit Loup. Et douces pensées à toi et ton conjoint.
Elo
Elo maman d'un p'tit garçon d'amour🌞
Mam'ange d'une belle petite fille née sans vie à 34+6SA🌟
Maman d'une 🌈 de bonheur née à 40+6
Solitaire à un souffle de toi, si près tu m'échappes déjà
Nenor
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Re: Mon parcours vers l'img

Message par Nenor »

Juli1 a écrit : 10 juin 2021, 23:23 Merci d'avoir partagé ton histoire avec nous.
J'espère que le forum pourra continuer à t'apporter du soutien pour la suite.

Le papa a-t-il souhaité rencontrer votre petit garçon ?

J'ai une pensée pour votre petit loup.
merci beaucoup,

Non il n'a pas souhaité le voir, il a regardé la photo qu'on m'a donné et ça l'a fait craqué, je pense que ça lui a fait du bien de pouvoir décharger tout ça.
En attendant je vois bien qu'il a du mal lui aussi mais comme la plupart il fait son fort et le montre pas ou très peu...
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